Hamadi Jebali, ancien chef du gouvernement nahdhaoui, a affirmé que le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a enfreint à nouveau la Constitution.
Il déclare que le premier amendement de la Constitution a été violé menaçant ainsi la paix sociale qui règne actuellement en Tunisie.
Hamadi Jebali suppose que la proposition de l’égalité de l’héritage entre l’homme et la femme fait partie de l’agenda politique de l’actuel président BCE.