La Cour de Cassation italienne a confirmé, selon le site «La Voce d’Italia» (la Voix de l’Italie), le licenciement de Amor Khediri, employé auprès du bureau des visas de l’ambassade d’Italie à Tunis. La Cour a jugé que la sentence émise en 2014 par la Cour d’appel de Rome était «adéquatement argumentée» et prouvé le fait que ce dernier avait reçu cinq dossiers de visas sans respecter la liste des rendez-vous et «sans vérifier avec la diligence due les documents d’accompagnement, et garantissant (…) le retour au pays des demandeurs».
La Cour suprême italienne a jugé ces manquements «particulièrement graves» et de nature «à légitimer la sanction décisive mettant fin au rapport de travail».
Le ministère des Affaires étrangères italien a décidé de licencier Amor Khedhiri le 12 avril 2011.