
Lors d’une séance de travail de la commission régionale de lutte contre la contrebande tenue, mercredi, au siège du gouvernorat, Tekaya a ajouté que le nombre de stations-service dans la région s’est réduit à 32, à cause des difficultés financières, ce qui a nécessité la mise au chômage technique de plusieurs ouvriers.
Environ 300 points de vente de carburant de contrebande sont disséminés à l’entrée des villes et dans les quartiers populaires de la région, signale la même source.
Il a été décidé, lors de cette réunion, d’organiser des campagnes conjointes avec les différents intervenants (services de la sûreté, des douanes et du commerce) pour lutter contre le phénomène.



