Les produits les plus touchés par l’économie parallèle (carburant, tabac, vêtements, chaussures, électroniques, électroménagers, fruits et fruits secs…) pour des pertes fiscales pour l’Etat tunisien estimées à plus de 2 milliards de dinars.
Les experts ont appelés lors de cette table ronde organisée par l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), à concevoir un système pour mettre les contrebandiers au services de la nation en les associant à la surveillance des frontières tout en mettant en place une stratégie nationale de lutte contre la corruption.