
Dans un communiqué dont la TAP a eu copie vendredi, le Tribunal de première instance a assuré que Mehdi Mlika a pu récupérer ses affaires les 17, 18 et 22 décembre conformément aux dispositions de l’article 299 du code de procédures civiles et commerciales et en coordination avec l’administrateur contrôleur.
Mehdi Mlika a déclaré plus tôt sur les ondes de Mosaïque Fm qu’il est « victime du décret-loi relatif à la confiscation » qu’il a qualifié d’ « illégal » et d’« arbitraire ».
Mon nom, a-t-il dit, a été ajouté à la dernière minute à liste des propriétaires de biens à confisquer », affirmant être le seul à avoir été expulsé de son domicile sur les 114 noms que comporte cette liste.




