Attentats à Paris : Déjà 120 morts !

terrorismePour la 3ème fois en onze mois, Paris a fait l’objet d’une attaque d’une rare cruauté, vendredi 13 novembre 2015. Aux alentours de 21h, des explosions ont retenti dans plusieurs endroits parisiens. Selon le dernier bilan de la préfecture de police de Paris, 120 personnes ont été tuées et de plusieurs dizaines blessées.

Tous les médias du monde entier en parlent. Le site du Nouvel Obs écrit ce matin: «Une nuit d’apocalypse. En quelques minutes, ce vendredi 13 novembre, la ville de Paris s’est transformée. L’ampleur de la tragédie a placé la capitale dans un état de sidération… Pour la première fois en France, des actions kamikazes ont eu lieu, notamment dans la salle de spectacle du Bataclan, dans le 11e arrondissement».

L’état d’urgence a été décrété par François Hollande; les frontières sont fermées… En fait, la France est réellement en état de guerre.

Plusieurs dirigeants étrangers ont condamné ces attaques ignobles: Barack Obama, David Cameron, Angela Merkel, Benjamin Netanyahou, Erdogan…

Il faut rappeler que presque simultanément, ce sont fusillades qui ont lieu dans Paris (certains médias ont évoqué 7 endroits), mais à l’heure actuelle, cinq endroits ont identifiés:

  • A l’angle des rues Bichat et Alibert (10e arrondissement), une fusillade éclate sur les terrasses du restaurant Le Petit Cambodge et du bar Le Carillon : 14 morts.
  • Rue de Charonne (11e arrondissement) : des témoins entendent des tirs pendant “deux, trois minutes”. 18 personnes seront tuées, notamment des clients du restaurant La Belle Equipe.
  • Rue de la Fontaine au roi (11e arrondissement), à proximité de la place de la République, cinq personnes sont abattues à la terrasse d’une pizzeria, La Casa Nostra.
  • Une attaque faisant un mort a également lieu boulevard Voltaire, de l’autre côté de la place de la République.

Au Bataclan, où se déroulait un concert de rock, plusieurs hommes armés à visage découvert ouvrent le feu dans la salle de spectacles aux cris de “Allahou Akbar“, et prennent les spectateurs en otage.