L’association des magistrats tunisiens (AMT) a affirmé mercredi que les magistrats en charge de l’affaire de la mosquée Lakhmi à Sfax avaient traité ce dossier avec professionnalisme et indépendance.
Des informations avaient circulé concernant «l’ingérence de parties politiques dans le déroulement de l’instruction», en référence à la libération de l’Imam Ridha Jawadi, précise l’association.
“Mettre en doute les décisions judiciaires sans prendre connaissance du contenu du dossier risque de ternir la confiance du public en la justice et la crédibilité des décisions judiciaires”, indique un communiqué de l’association.
L’association a aussi relevé que les médias, en tant que mécanisme pour l’exercice de la démocratie et l’amélioration du rendement de la justice, se doivent d’assurer une couverture des activités judiciaires dans le respect du code de déontologie.