“Plusieurs établissements privés de formation professionnelle sont menacés de faillite à cause de la la régression du nombre des inscrits”, a déclaré, samedi, Rached Chelli, président de la Chambre Nationale des structures privées de formation professionnelle relevant de l’UTICA.
Cette réduction est due, selon Chelli, à “la concurrence du secteur public” et à la prolifération des intrus, dont “des associations et des partis politiques qui se sont transformés en structures de formation”, d’après ses dires.
Dans une déclaration à l’agence TAP, en marge d’une conférence, tenue à Sousse, sur les perspectives de la formation professionnelle privée, Chelli a appelé à la révision du système et des mécanismes de financement de la formation professionnelle pour garantir la pérennité des établissements privé de formation.
Il a, également, appelé les ministères de la Formation Professionnelle et de l’Emploi et aussi celui de la Santé Publique à réviser le circulaire publié en 2011 et stipulant l’annulation de la formation, au sein des établissements privés, dans les spécialités du paramédical.