La Constitution de la 2e République est une ligne rouge à ne pas franchir, a averti Al-Massar. Le parti réprouve « les violations répétées des dispositions de la nouvelle Constitution par le parlement ».
Le parti cite le dépassement des délais constitutionnels pour la création du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) ainsi que les violations contenues dans les dispositions de la loi portant création de ce Conseil.
Cette situation a provoqué une crise entre la Commission de la législation générale, nombre de députés et le ministre de la Justice, regrette Al Massar.
Dans une déclaration rendue publique mercredi, le parti rappelle que le ministre de la justice avait mis en garde contre les propositions d’amendements avancées en plénière dans la mesure où elles transgressent le texte de la Constitution.
Al-Massar déplore les déclarations de certains dirigeants de « la coalition parlementaire » qui appellent à l’amendement de la Constitution.