Après l’arrestation du blogueur Aziz Amami, dans la nuit de lundi à mardi à La Goulette, pour “détention et consommation de cannabis”, a indiqué Me Bassem Trifi, avocat de la défense, à l’Agence TAP,
des activistes de la société civile se sont mobilisés pour «témoigner leur solidarité envers la famille d’Aziz Amami» et appelé à l’amendement de la loi n°52 de l’année 1992 relative à la consommation des stupéfiants qu’ils qualifient d’«injuste».
D’autres personnalités politiques et de la société civile ont également appelé à l’organisation d’un dialogue national sur la loi 52, relative à la consommation des stupéfiants, dont la Zatla.