Pour ceux qui n’ont pas le temps ou l’envie de suivre l’info au jour le jour, voici une sélection des articles publiés la semaine écoulée.
Lundi 5 mai 2014
Frères musulmans: Rached Ghannouchi dément le site Alarabiya.net
Dans un communiqué publié, ce lundi 5 mai sur le site Ennahdha, le bureau de Rached Ghannouchi a nié l’authenticité de la lettre parue sur le site Alarabiya.net selon laquelle le leader du mouvement islamiste aurait critiqué le comportement des Frères musulmans en Égypte.
Tunisie-Politique: Rached Ghannouchi demeure toujours un gourou
Des analystes hâtifs se bousculent, ces jours-ci, dans les médias pour vanter les mérites de Rached Ghannouchi, leader du parti Ennahdha et lui attribuer un rôle déterminant dans les succès remportés par la Tunisie en cette période de transition, particulièrement en ce qui concerne la participation au Dialogue national, l’adoption d’une Constitution, la formation d’un gouvernement de technocrates, le vote d’une loi électorale…
Mardi 6 mai 2014
Tunisie : L’ISIE écoute la société civile
L’Instance supérieure indépendante pour les élections ( ISIE) a écouté mardi les suggestions de la société civile relatives à la stratégie conjointe devant être mise au point pour réussir les prochaines échéances politiques. Cette réunion est la première d’un cycle de rencontres ouvertes à toutes les composantes de la société civile, a assuré le président de l’ISIE Chafik Sarsar.
4e mandat de Bouteflika : La composition du nouveau gouvernement
Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé officiellement lundi 4 mai 2014 à un vaste remaniement ministériel, indique un communiqué de la Présidence de la République.
Mercredi 7 mai 2014
Tunisie – Constituante – Al Massar : La loi électorale est un remake du scénario catastrophe de 2011
«La loi électorale votée par la Constituante aurait pu être meilleure si seulement elle n’avait pas été faite sur mesure pour servir les desseins des partis prétendument forts dans notre pays.
Tunisie- Gouvernement Jomaa : Y a-t-il une Com ?
La visite de Mehdi Jomaa à Paris n’a pas suscité l’intérêt qu’elle méritait, ni ici ni à plus forte raison en France.