En ces temps de crise, tout le monde ne peut s’offrir de la viande tous les jours. Le Britannique Arthur Boyt a trouvé la parade pour croquer de la barbaque pas chère: ramasser les animaux écrasés sur les routes avant de les cuisiner avec appétit dans sa maison de Cornouailles.
Chiens, chats, furets, souris, rien n’est plus savoureux, selon ce chercheur à la retraite de 74 ans. «Le problème n’est pas le goût de la nourriture, c’est dans la tête», estime-t-il alors qu’un ragoût de blaireau mijote. «Il faut sauter le pas. Il faut se dire ok c’est juste de la viande», conseille-t-il.
Il confie également que son plat préféré est le chien. Deux Lurcher (croisement avec un lévrier) et un labrador ont déjà fini dans son assiette. Cependant, gentleman, il précise qu’il tente toujours de retrouver les propriétaires avant de déguster des chiens. Dont la saveur «ronde, lisse et douce» est à accompagner d’«un vin rouge, comme le Chianti par exemple».
Source: 20 minutes.fr