
Selon l’ANC, ces voix « synchronisées » ne reflètent pas la volonté du peuple tunisien, s’interrogeant, à ce propos, sur « les réelles motivations de cette campagne acharnée qui intervient en concomitance avec la fin de la rédaction du projet de la Constitution ».
Ces campagnes répétées de dénigrement ne vont pas réussir à saper la volonté des élus du peuple qui sont résolument engagés à parachever l’édification des institutions de la République.
« La Constituante accueille favorablement la critique positive et constructive, loin des considérations politiciennes », ajoute une déclaration de l’ANC qui appelle les médias à ne pas verser dans la diffamation, les insultes et la diffusion d’informations erronées et à accorder, le cas échéant, le droit de réponse.




