
"Aucune autorité, que ce soit la présidence du gouvernement ou le ministère de la justice, ne peut intervenir dans cette affaire", a indiqué le chef du gouvernement.
Il a ajouté que "Sami Fehri disposait de tous ses droits moraux et matériels de manière à préserver sa dignité comme tous les détenus" et qu'il bénéficiait de "la protection médico-sanitaire nécessaire pour le suivi de son état de santé". A signaler qu'à l'issue de la rencontre, les deux parties s'étaient abstenues, vendredi, de donner des déclarations à la presse.
Une audience est prévue, le 3 janvier prochain, pour le réexamen de l'affaire de Sami Fehri qui a suspendu, Samedi, sa grève de la faim sauvage, après avoir perdu 18 kg, pour protester contre son maintien en détention malgré une décision de la cour de cassation.
Di/TAP




