
C’est aussi les coupures qui ont touché les centres hospitaliers et les usines. En fait, les explications de ce responsable de la STEG ne nous intéressent pas et font partie de la langue de pierre connue depuis des lustres.
Maintenant, on se demande pourquoi le gouvernement est-il resté en « hors-jeu » alors que les signes précurseurs de la pénurie étaient clairs et s’accumulaient d’heure en heure depuis plus d’un mois.
Il est ou trop tôt ou trop tard pour cette « cellule de coordination qui a ordonné l’ouverture d’une enquête pour connaître les causes inhérentes à ces pannes et coupures ».
Ouvrir une enquête », c’est enterrer le problème.
Commentaire de Amad Salem à l’article Tunisie – Coupures d’eau: La STEG s’explique




