Selon le quotidien Echourouk, dans un article publié, ce jeudi 25 avril 2013, les forces de sécurité auraient découvert qu’une centaine d’associations, sous couvert de charité, appartenaient en fait à la mouvance salafiste et recrutaient de jeunes tunisiens et surtout des délinquants pour le jihad en Tunisie et à l’étranger.
Lire aussi:
Tunisie: Des salafistes attaquent un foyer pour étudiantes
Tunisie: Sale temps pour l’alcool
Menzel Bouzelfa: Un directeur de lycée tabassé par une horde de salafistes