
Il a, également, appelé les islamistes à contribuer, après la difficile phase de transition en Tunisie, à l’édification du projet arabe « tout en donnant la priorité à la Palestine dans le printemps arabe ».
« Il ne faut pas que la Palestine soit absente de vos esprits. Elle n’est pas un fardeau, ni une charge politique, mais plutôt un atout, voire même au cœur du projet arabe », a-t-il soutenu, appelant la Tunisie, qu’il qualifie de « pionnière des révolutions arabes », à « plaider haut et fort, dans les instances internationales et régionales, pour une stratégie arabo-islamique visant la libération de la Palestine et tournant la page aux négociations ».
WMC/TAP
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