66 journalistes ont été tués et 1044 arrêtés dans le monde en 2011, une année marquée par le “printemps arabe” et les contestations liées à la crise, indique le rapport annuel de Reporters sans frontières publié jeudi.
La place Tahrir du Caire, la ville de Misrata en Libye, la place du Changement au Yémen, Abidjan en Côte d’Ivoire, Manama au Bahreïn, Mogadiscio en Somalie et l’Etat de Veracruz au Mexique figurent parmi les dix lieux les plus dangereux pour les journalistes recensés par l’organisation de défense de la presse.
Sur les 66 journalistes tués cette année, un chiffre en hausse de 16% par rapport à 2010, 20 l’ont été au Moyen-Orient et presque autant en Amérique latine.
(Reuters)
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