Après l’arrivée d’une frégate italienne, l’Espagne a annoncé à son tour l’envoi d’un navire militaire pour soutenir la flottille humanitaire en route vers Gaza, menacée par de nouvelles attaques de l’armée israélienne.
Rassemblant près de cinquante bateaux partis de Barcelone, de Tunisie, de Sicile et rejoints par des navires grecs, l’« Flottille mondiale de la liberté » poursuit sa mission malgré les frappes de drones et le brouillage des communications. Le contingent italien, qui rejette la proposition de Rome de débarquer l’aide à Chypre, réaffirme sa détermination à briser le blocus jugé illégal. Tandis que le ministre italien de la Défense, Guido Crosetto, et le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, annoncent l’envoi de navires pour protéger leurs ressortissants, l’ONU et l’Union européenne condamnent fermement les attaques et exigent une enquête internationale.
À bord figurent des figures militantes de premier plan, telles que Greta Thunberg, renforçant la portée symbolique et politique de ce convoi qui avance, à l’est de la Crète, sous haute tension.




