La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a déclaré mardi depuis New York, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, que la pression internationale devait s’exercer sur le mouvement Hamas et non sur Israël, qu’elle accuse d’avoir déclenché le conflit et de bloquer sa résolution en refusant de libérer les otages.
Elle a ajouté que l’Italie pourrait envisager de reconnaître officiellement l’État de Palestine, mais uniquement à condition que tous les otages israéliens soient libérés et que le Hamas soit écarté de toute participation au pouvoir.




