Deuxième LGV au Maroc : des progrès spectaculaires en seulement 4 mois

Le Maroc poursuit à une cadence impressionnante le chantier de sa deuxième ligne à grande vitesse (LGV), reliant Kénitra à Marrakech, inauguré par le roi Mohammed VI en avril dernier.

En seulement quatre mois, les avancées sont spectaculaires : près de 3 500 hectares libérés, des millions de mètres cubes de terrassements réalisés, les premiers rails livrés et plusieurs tronçons déjà en état d’avancement remarquable. Avec ses 430 kilomètres, cette extension de la LGV Tanger–Kénitra permettra de relier rapidement les principales métropoles du royaume – Kénitra, Rabat, Casablanca et Marrakech – tout en offrant une desserte directe des aéroports et des grands stades. Ce projet d’envergure, estimé à 67 milliards de dirhams, se distingue non seulement par sa dimension technologique et écologique, mais aussi par ses retombées économiques et sociales, puisqu’il contribuera à désenclaver des territoires, dynamiser le tourisme, faciliter les affaires et renforcer le rayonnement international du Maroc.

Plus qu’une infrastructure ferroviaire, il s’agit d’un véritable levier de modernisation et de développement durable pour l’ensemble du pays.