Louis Vuitton a décidé d’élever le petit-déjeuner au rang d’expérience de luxe en lançant une pâte à tartiner chocolat-noisette au prix extravagant de 1 500 dollars.
Présentée dans un pot en verre épais, finement gravé du célèbre monogramme et surmonté d’un couvercle doré, cette création ressemble davantage à un flacon de parfum haut de gamme qu’à un simple produit alimentaire. Cette initiative divise : pour certains, il s’agit d’un objet de collection alliant gastronomie et art, tandis que pour d’autres, elle illustre l’excès du marketing de prestige.
Qu’on choisisse de l’exposer comme une pièce décorative ou d’oser la déguster, une chose est sûre : Louis Vuitton a repoussé les limites de la notion de « premium » au petit-déjeuner.




