Malte a annoncé son intention de reconnaître officiellement l’État de Palestine en septembre 2025, lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies.
Cette décision, qui intervient après celles de l’Irlande, de la Norvège, de l’Espagne et plus récemment de la France, traduit la volonté de La Valette de soutenir concrètement la solution à deux États et de répondre aux pressions politiques internes en faveur d’un geste fort. Le Premier ministre maltais Robert Abela a expliqué que cette reconnaissance visait à contribuer à un processus de paix durable au Proche-Orient.
Ce mouvement diplomatique européen, qui gagne en ampleur, suscite la colère du gouvernement israélien mais pourrait marquer un tournant dans la perception internationale du conflit, dans un contexte où la guerre à Gaza a causé des dizaines de milliers de morts et ravagé les infrastructures civiles.




