La présidence du gouvernement tunisien a indiqué, en réponse à une question écrite adressée par un député de l’Assemblée des représentants du peuple, que toute mesure juridique ou administrative visant à dissoudre les partis Ennahdha et Hizb Ettahrir, en raison d’infractions présumées au regard de la Constitution et du décret-loi n°87 de l’année 2011 relatif aux partis politiques, ne peut être envisagée qu’à la suite de décisions judiciaires définitives et irrévocables dans les affaires intentées contre ces formations politiques.




