Le premier assistant du procureur de la République près le tribunal de première instance de Kasserine et porte-parole officiel des tribunaux de Kasserine, Imed Al-Omari, a confirmé dans une déclaration à la radio Mosaïque, que deux rapports médicaux ont été émis, mardi 15 avril 2025, par les instances médicales spécialisées, concernant l’auteur du meurtre du petit Haroun, âgé de quatre ans, victime d’un crime odieux survenu dans la région en mars dernier.
Le premier rapport médical a révélé que l’assassin de Haroun n’a pas consommé de drogues, tandis que le second a conclu que l’accusé est pénalement responsable de son acte. En effet, il a été jugé comme étant d’intelligence limitée, mais sans atteindre le niveau de déficience mentale, selon le rapport.
Le premier assistant du procureur a également souligné que la peine encourue pour ce type de crime peut aller jusqu’à la peine de mort.
Pour rappel, la région de Kasserine a été secouée, en mars dernier, par un crime atroce ayant coûté la vie au petit Haroun, âgé de quatre ans. Le coupable, un proche de la victime, a été arrêté peu après.




