La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du tribunal de première instance de Tunis a prononcé une peine de trois ans de prison à l’encontre d’un magistrat radié, reconnu coupable de participation à un réseau ayant pour objectif le blanchiment d’argent.
Un second accusé, jugé dans la même affaire, a écopé d’une peine d’un an d’emprisonnement avec sursis. Ces décisions font suite à l’ordonnance de renvoi émise par la chambre d’accusation de la Cour d’appel de Tunis, laquelle avait décidé de renvoyer les deux prévenus, laissés en liberté, devant la juridiction pénale compétente pour répondre des faits liés au blanchiment d’argent.



