Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a condamné, mercredi, les graves violations commises par l’entité sioniste dans les territoires palestiniens occupés et sur le plateau du Golan. Il a souligné les répercussions de ces actes au regard du droit international et réitéré son rejet des crimes en cours contre les Palestiniens, ainsi que des violations de l’accord de cessez-le-feu.
Lors de sa 58ᵉ session, dans le cadre du point à l’ordre du jour concernant la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés et sur le Golan syrien occupé, les membres du Conseil ont exprimé leur rejet des crimes de guerre en cours, de la violation du cessez-le-feu et des assassinats de civils palestiniens. Ces préoccupations s’inscrivent dans un contexte d’appels internationaux pressants en faveur d’une action ferme, selon l’agence de presse palestinienne Wafa.
À l’ouverture de la session, le Représentant du Haut-Commissaire a présenté les rapports du Haut-Commissariat aux droits de l’homme, mettant en lumière l’expansion des colonies illégales, la spoliation des terres et l’impératif de tenir responsables les auteurs de crimes de guerre.
Les représentants des États membres du Conseil ont fermement condamné l’occupation illégale continue des territoires palestiniens et dénoncé les agressions et crimes contre l’humanité perpétrés dans ces régions.