Le Conseil national de l’Ordre des médecins a publié un communiqué ce jeudi, affirmant que la liberté d’expression ne saurait servir de prétexte pour porter atteinte à l’honneur et à la réputation de la profession médicale en Tunisie.
Le Conseil a souligné que la diffamation et les attaques publiques sont des délits punis par la loi, et a invité toute personne détenant des preuves tangibles à les soumettre aux autorités compétentes pour examen légal. En l’absence de preuves concrètes, ces accusations sont considérées comme une campagne de dénigrement systématique nuisant à la relation de confiance entre les médecins et leurs patients. Face à ces attaques malveillantes sur les réseaux sociaux, le Conseil s’engage à prendre des mesures légales rigoureuses contre toute personne diffusant des informations fausses ou des allégations diffamatoires.
Il appelle à la responsabilité et à la prudence dans l’utilisation des réseaux sociaux, réaffirmant son engagement à défendre l’honneur de la profession médicale et à agir conformément à ses principes éthiques, dans l’intérêt des citoyens et de la société.