Neji Jalloul, ancien ministre et candidat à la présidentielle d’octobre, a révélé le 10 août 2024 avoir appris par hasard qu’il était condamné à six mois de prison.
Cette peine, prononcée par contumace, est liée à des accusations de falsification de parrainages durant la campagne présidentielle de 2019, au cours de laquelle il s’était également présenté comme candidat. L’annonce de cette condamnation inattendue met en lumière des turbulences juridiques et politiques majeures pour l’ex-ministre, accentuant ainsi les tensions autour de l’intégrité des processus électoraux en Tunisie.