La Chambre pénale du Tribunal de première instance de Tunis a condamné Mohamed Ali Aroui, ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, à six ans de prison et à une amende de 400 mille dinars pour des accusations de “chantage” et “exploitation de fonction pour détourner des fonds d’autrui”.
Cette décision judiciaire s’inscrit dans le cadre d’une affaire complexe où un agent de sécurité, également impliqué, a été condamné à trois ans de prison. Les faits reprochés révèlent des abus de pouvoir et des malversations financières au sein des institutions publiques.