Dans son discours devant le Syndicat National des Journalistes Tunisiens, le journaliste palestinien Wael Dahdouh a souligné que le journalisme est avant tout un message humanitaire et un devoir national.
Il a affirmé que lui et ses collègues ont essayé de remplir ce devoir de la meilleure manière possible et estime qu’ils ont réussi dans de nombreux aspects. Il a également insisté sur l’importance de la presse palestinienne en tant que modèle à suivre, malgré les nombreux sacrifices consentis. Il a souligné que cette mission sacrée et humanitaire mérite les sacrifices consentis et ceux qui seront encore nécessaires à l’avenir.
Dahdouh a exprimé son honneur d’être parmi ses collègues journalistes et au sein de ce prestigieux syndicat, espérant que cela ouvrirait la voie à une coopération fructueuse pour les questions de presse, de droits de l’homme et de liberté d’expression. Il a également critiqué ce qu’il a appelé “la guerre révélatrice”, soulignant qu’elle a mis à nu de nombreuses institutions qui se targuaient de défendre la liberté d’expression et le droit à l’information.