L’ampleur du désastre est importante dans la bande de Ghaza, où “tout est détruit” par l’entité sioniste, a affirmé lundi à New York la ministre palestinienne des Affaires de la Femme, Amal Hamad.
Environ 600.000 étudiants et étudiantes sont désormais privés d’éducation à Ghaza, a déploré Mme Hamad dans des déclarations à la presse au siège des Nations unies, relevant qu’il n’y a pas d’eau, ni nourriture, ni électricité dans l’enclave palestinienne et que les habitants n’ont nulle part où aller.
“Je suis venue vous voir, portant un message de la part du peuple palestinien, à savoir qu’il y a un besoin urgent d’un cessez-le-feu à Ghaza”, a-t-elle souligné.
Elle a averti que “tout est détruit à Ghaza” et qu’un cessez-le-feu était nécessaire pour envoyer de l’aide et empêcher les déplacements forcés.
Depuis le 7 octobre 2023, l’entité sioniste mène une agression dévastatrice dans la bande de Ghaza qui a fait des dizaines de milliers de victimes civiles, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent et d’une destruction massive des infrastructures.