Les partisans du PDL ont apelé à la libération de leur présidente, Abir Moussi, estimant que son arrestation était fondée sur ses considérations politiques et sur son intention de se présenter à la prochaine présidentielle.
Dans une alocution, Karim Krifa, membre du Bureau politique et du collectif de défense de Moussi, a déclaré que les enquêtes n’avaient pas prouvé l’existence d’éléments soutenant les accusations portées contre elle. Il a estimé que «malgré tout, elle sortira de prison et se présentera pour la prochaine présidentielle».