Le président de la République Kaïs Saïed a insisté sur le rôle qui incombe à la Cour pénale internationale de “poursuivre quiconque commet des crimes relevant de sa compétence”.
Cité dans un communiqué de la Présidence, le chef de l’Etat a souligné que “l’humanité tout entière aujourd’hui aspire à un monde plus juste sur tous les plans”.
Recevant, jeudi soir, au Palais de Carthage, le juriste tunisien Haykel Ben Mahfoudh, élu récemment en tant que juge à la Cour pénale internationale (CPI), le président Saïed s’est attardé sur les crimes perpétrés contre le peuple palestinien sous les yeux de la communauté internationale.
“Ces crimes contre l’humanité ne peuvent se poursuivre indéfiniment et rester dans l’impunité”, a-t-il dit.
Evoquant la récente élection de Haykel Ben Mahfoudh en tant que juge à la CPI, le président Saïed a déclaré que “cette élection n’est pas l’oeuvre du hasard, mais une reconnaissance des compétences tunisiennes à l’international.