La décision de la Cour pénale de Sheikh Zayed, dans le sud de Gizeh en Égypte, condamnant l’artiste Mohamed Ramadan à un an de prison pour avoir propagé de fausses informations contre une banque égyptienne, suscite beaucoup d’intérêt.
Il y a environ deux ans, Ramadan avait surpris ses followers en déclarant sur Instagram que ses fonds avaient été saisis par une banque sans spécifier les raisons ni leur véracité. Les sources égyptiennes avaient alors révélé que les fonds saisis, d’une valeur de 6 millions de livres égyptiennes, correspondaient à des compensations pour les héritiers du pilote défunt, Ashraf Abu Al Yusr.
La banque a souligné le respect du secret bancaire mais a également mentionné qu’elle informe les clients en cas de saisie judiciaire conformément à la loi.