Dans une émission récente de Jaafar Guesmi, “Yest’hak”, une petite fille nommée Israa a captivé le cœur des téléspectateurs et a rapidement pris d’assaut les plateformes de médias sociaux arabes. Israa, une orpheline qui ne peut ni entendre ni parler depuis son plus jeune âge, a exprimé son désir ardent de poursuivre ses études malgré sa situation difficile. L’émotion suscitée par son histoire a déclenché une vague de réactions considérables sur les réseaux sociaux, non seulement en Tunisie, mais également dans plusieurs pays arabes, dont le Maroc, l’Algérie, la Libye, la Syrie, l’Égypte, et les pays du Golfe.
La vidéo de l’émission a circulé abondamment, suscitant des réponses chaleureuses et de nombreuses offres d’aide financière pour soutenir le rêve d’Israa d’aller à l’école. La jeune fille, dont la condition médicale est jugée traitable, est devenue le symbole d’une beauté tunisienne qui transcende les frontières. De nombreuses personnes ont exprimé leur affection pour Israa et ont exprimé leur volonté de contribuer financièrement à son éducation, à ses études et à son traitement médical. L’histoire d’Israa a non seulement suscité un élan de solidarité, mais elle a également attiré l’attention sur la beauté et la bonté présentes dans la diversité de la société tunisienne.
L’impact de cette histoire souligne la capacité des médias sociaux à mobiliser les individus pour des causes humanitaires et à transcender les frontières géographiques pour susciter une réponse collective. Israa devient ainsi une source d’inspiration et d’espoir, unissant les gens autour d’un objectif commun : soutenir cette jeune fille déterminée dans sa quête d’éducation et de guérison.