L’organisation internationale pour la protection des enfants de la méditerranée (OIPEM) a décidé d’engager des poursuites pénales auprès des juridictions internationales contre l’occupant sioniste pour homicide volontaire et déplacement forcé des enfants après l’assassinat de 1903 enfants soit une moyenne 120 enfants par jour, depuis le début de la guerre le 7 octobre dernier, entre les forces de la résistance palestinienne à Gaza et l’entité sioniste, jusqu’à hier dimanche.
L’OIPEM a indiqué dans un communiqué rendu public lundi que des avocats qui collaborent avec cette organisation en Europe, intenteront des procès contre l’occupant sioniste, appelant la justice internationale à réagir avec le sérieux requis et statuer cette affaire en urgence.
Elle a souligné la nécessité de sanctionner l’entité sioniste pour ses crimes contre les enfants à Gaza et dans les terres occupées avoisinantes, après les avoir forcé à quitter leurs territoires devant le mutisme de la communauté internationale.
L’OIPEM a rappelé les conventions internationales ratifiées par la plupart des pays concernant la protection des civils, notamment les enfants pendant la période des guerres.
Parmi ces conventions, figurent la convention de Genève sur la protection des civils en temps de guerre, en date du 12 aout 1949, la convention des droits de l’enfant (1989) et autres conventions régionales qui incriminent toutes formes d’agressions contre les enfants.