Plusieurs composantes de la société civile ont poussé un cri de stress face à l’aggravation du phénomène d’érosion marine sur toute la bande côtière s’étendant de Yasmine Hammamet à la ville de Beni Khiar, outre la dégradation de la situation environnementale dans la ville et l’augmentation du phénomène de construction chaotique en raison de l’absence d’exemples de développement urbain.
Le président de l’Association d’éducation environnementale d’Hammamet, Salem Sehili, a exprimé sa colère face au silence des autorités et à leur manque d’intervention pour protéger la plage de Yasmina, menacée par l’érosion marine, appelant l’Agence de Protection et d’Aménagement du Littoral (APAL) et la municipalité d’Hammamet et les autorités régionales à intervenir d’urgence et à trouver des solutions radicales à ces problèmes.