Le journaliste Mohamed Boughallab a déclaré, lors de son intervention sur Diwanfm, que la Tunisie dispose d’un arsenal de lois, similaire à l’article 245 du code pénal relatif à la diffamation comme « toute allégation ou imputation publique d’un fait qui porte atteinte à l’honneur.
Boughllab a ajouté que le décret n°54 relatifs aux délits liés aux systèmes d’information et de communication visait à massacrer la liberté d’expression.