L’avocate Dalila Msaddek a affirmé que le dossier de complot contre la sûreté de l’État est dépourvu de preuves, notant que tous les documents sont des captures d’écrans de téléphone de conversations sur WhatsApp entre les accusés dans l’affaire.
Elle indique que le dossier a commencé avec un lanceur d’alerte qui s’était présenté et affirmé détenir des informations sur l’existence d’un complot.
L’avocate a ajouté que cet informateur n’est plus un inconnu après avoir examiné le procès-verbal et que les avocats savaient tout ce qui le concernait car il est actuellement en prison. Il a été condamné dans une affaire de complot contre la sûreté de l’État.
Elle a également parlé d’un autre témoignage anonyme dans une affaire de complot contre la sécurité de l’État qui n’est pas actuellement détenu mais qui est interdit de voyager.