Chaima Issa ne considère pas la décision de couper les relations avec la Syrie comme une erreur de l’État tunisien, en ce sens qu’elle a été prise dans une période où le régime syrien était considéré comme injuste, meurtrier et sanglant, selon ses dires.
Elle assure que Kaïs Saïed, depuis son élection, a continué à travailler avec la même décision concernant la rupture des relations tuniso-syriennes.