Lazhar Akremi compare le rôle des organisations nationales à celui de l’aspirine qui ne guérit pas les maladies graves.
Selon lui, les initiatives des certaines organisations nationales ressemblent à des cailloux jetés dans un étang stagnant.
Sur les ondes d’une radio, il assure que le pays a besoin d’une intervention, d’un véritable système politique et d’hommes d’État capables d’apporter des changements profonds.
Par conséquence, il affirme que Kaïs Saïed est le problème…