Samir Chafi, sous-secrétaire général chargé du département de la femme et de la jeunesse de l’Union syndicale, a souligné que la législation visant à lutter contre la violence à l’égard des femmes en Tunisie est une législation pionnière, mais qu’elle a encore besoin de mesures supplémentaires qui prouveraient enfin leurs droits.
À cet égard, Chafi appelle toutes les composantes de la société civile à unir leurs efforts pour faire pression sur le gouvernement tunisien afin qu’il ratifie la Convention internationale du travail n° 190 pour un monde du travail exempt de violence et de harcèlement.