Le membre du Front de Salut, Samir Dilou, a déclaré ce lundi 7 novembre 2022 que le front continuera sa lutte pacifique même après les élections législatives du 17 décembre jusqu’à ce que les Tunisiens puissent choisir leur destin à travers de vraies élections.
Il a ajouté que les moyens de lutte sont limités pour les opposants tandis que ceux qui sont au pouvoir ont “l’autorité d’émettre sans recevoir” selon son analyse.
Le Front du Salut considère que le président de la République ne pourra pas participer aux dialogues étant donné qu’il fait déjà partie du passé.
En ce qui concerne l’Instance Supérieure Indépendante des Elections (ISIE), Dilou a affirmé qu’il s’agit d’une instance qui a aidé le président à tout mettre en place.