Tunisie : Abdelkefi surpris par la demande du FMI et analyse

Le président du parti Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi, a déclaré, mardi 1er novembre 2022, que pour la première fois depuis l’indépendance le Fonds monétaire international (FMI) a réclamé la signature du président de la République et de la cheffe du gouvernement sur un accord avec la Tunisie.

Sur les ondes d’une radio privée, a rappelé que l’accord se fait généralement entre le FMI, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie et le ministre des Finances.

Il explique que ceci est dû à la politique unilatérale du président de la République, Kais Saïed, qui a écrit seul la nouvelle constitution et qui a préparé seul le référendum ainsi que la loi électorale.

Abdelkefi a ajouté que la loi des finances devrait être passée devant le parlement, un parlement dissous et un second qui n’existe pas.

NDLR: non monsieur Abdelkefi, vous dites une “contrevérité”, en ce sens que vous connaissez bien où se trouve la vérité, mais sciemment vous ne la dites pas. En effet, si le FMI a exigé cette signature, c’est pour avoir une garantie.

D’ailleurs, vous n’étiez pas surpris lorsque l’institution internationale a exigé d’associer le patronat et surtout la centrale ouvrière?