La présidente de l’Instance nationale de lutte contre la traite des êtres humains, Raoudha Laabidi, a confirmé que l’accusation de traite des êtres humains n’est toujours pas d’actualité concernant la fillette de 4 ans qui a atteint la côte italienne dans le cadre d’un processus de migration irrégulière.
Laabidi a souligné, vendredi sur les ondes de Shems FM, que les indicateurs de traite des êtres humains ne sont pas présents dans ledit incident, notant qu’il s’agit d’un incident lié à l’implication d’un père dans le trafic illicite de migrants.
La même source a ajouté que l’accusation de traite d’êtres humains nécessite la traite d’une personne et la réception d’une rémunération financière pour cela, ce qui n’était pas le cas.