Plusieurs dénonciateurs de corruption devaient être présents à la conférence de presse du mercredi 19 octobre, sous la supervision de la Ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme (LTDH), intitulée « Lanceurs d’alerte de la corruption ». Sauf qu’ils étaient absents, ce qui a entraîné l’annulation de cette rencontre avec les médias.
Pour sa part, le président de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme explique cette absence par des pressions exercées sur eux.
Il était prévu de soumettre de nouveaux dossiers de lanceurs d’alerte et d’annoncer la création d’une “association de lanceurs d’alerte”.