Fatma Mseddi, ancienne députée, a déclaré que le dossier sur le réseau de l’envoi des jeunes dans les zones de conflit est une question purement juridique et sécuritaire. L’affaire n’est pas politique comme certaines cherchent à le faire croire.
Sur les ondes de Jawhara FM, elle a expliqué que cette affaire est considérée comme « l’un des problèmes les plus graves » et que « le président de la République, Kais Saïed, la suit en tant que chef du Conseil de sécurité nationale ».
Selon elle, ce dossier impliquait des parties de la plus haute autorité de l’État à l’époque.