Le leader du mouvement Echaab, Badreddine Gamoudi, affirme que la corruption bat son plein et que l’Etat doit mettre en œuvre une stratégie pour la combattre.
Il estime la volonté politique était présente le 25 juillet mais se limitait à une déclaration d’intentions qui ne s’est pas traduite des mécanismes appropriés, comme l’ouverture de dossiers importants sur la corruption par exemple.