Le secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’éducation de base, Taoufik Chebbi, estime que la rentrée scolaire 2022/2023 ne sera pas normale et risque de connaître quelques tensions.
Il a ajouté que de nombreuses difficultés vont entraver la reprise de l’école, en particulier pour les 5 600 postes vacants, lesquels exerceront une pression sur le cadre éducatif et entraîneront des classes surpeuplées, ce qui représente une entrave au droit d’étudier, rapporte Shems Fm.
En ce qui concerne les erreurs trouvées dans certains manuels, Chebbi a déclaré que le comité de rédaction n’en porte pas la responsabilité parce qu’il est clair qu’il s’agit d’erreurs typographiques ou peut-être qu’il y a des parties qui cherchent à toucher à l’image de l’enseignant.